
Si vous m’aimez assez …
Je ne confierai plus jamais rien à personne
Beaucoup de trahisons et secrets éventés
Delà mon cœur meurtri les mots que je vous donne
Sont noircis désormais comme discrédités
Vous êtes à genoux afin que je pardonne
Vos divulgations et d’autres lâchetés
Mais relevez-vous donc, vite je vous l’ordonne
Vos aveux spontanés ne sont que mérités
Tout cela n’est hélas que de ma simple faute
Vous êtes cet amour, ardeur qui me chapeaute
Je ne puis supporter de surseoir à demain
A mon tour à vos pieds aujourd’hui je m’incline
Vous êtes ma Vénus, ma passion divine
Si vous m’aimez assez, offrez-moi votre main